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dimanche, 13 janvier 2008

Retrouver la boule ?

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C'est bien. Je vais peut-être pouvoir me racheter une boule à neige si merveilleusement kitsch comme celle qui a malencontreusement été cassée par une jeune personne maladroite du nom de Bam-Lisa - à qui j'emprunte au passage une photo - laquelle raconta naguère ici dans quelles tragiques circonstances vint à chuter cette boule qu'on ne trouve qu'aux Galeries-la-Paillette, dixit la miss. Et dont il ne subsiste à ce jour qu'une tour Eiffel mortifiée et plus guère de paillettes.

L'espace de quelques jours, je serai donc parisienne, et pas que dans ma tête, pour une fois.

Demain, il sera quand même là. Le ELLE vintage. Par la suite, peut-être un petit billet attendu par Amylee sur pourquoi j'ai la tête que j'ai. Enfin, plus exactement, mon avatar. Et puis peut-être autre chose, selon la météo et l'inspiration du jour. Peut-être, hein. On verra.

samedi, 12 janvier 2008

Plus improbables que l'improbable clutch

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Dans Libé, le vendredi, il y a la rubrique Tentations. Je ne manque jamais d'y jeter un oeil plus ou moins distrait. Mais hier, j'ai lu avec une attention soutenue le papier sur la pochette. Sûrement parce qu'il était illustré d'une photo de Paul, la pochette telle qu'interprétée par Jérôme Dreyfuss. Et lie de vin, la pochette. Pile la couleur de mon Robert, la couleur que l'on nous promet so hype dans les semaines à venir.

Et là, j'ai appris que la pochette, ça se dit clutch. chez les fashion people. J'avoue que je l'ignorais. J'ai même pas honte. Pour moi, de toutes façons, la pochette, c'est improbable. Sous le bras c'est impensable. Si j'en avais une, ce serait donc au mieux pour la poser, l'oublier, la passer d'une main à l'autre d'un air emprunté, au pire pour ne pas m'en servir du tout... no way.

La pochette, pour moi, c'est aussi improbable que le terme clutch, tout de même peu glamour. Aussi improbable, tiens, que mes souliers improbables en ce moment même chez Violette exposés. Je n'en ai pas honte non plus. Je suis une shoes-addict et je le revendique. A ce niveau, je crois bien que c'est de la performance artistique.

vendredi, 11 janvier 2008

Triplé d'or et frangipane de frangines incestueuses

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Au chapitre des googleries de la semaine, je note un facétieux "zizi de M1" que c'est pourtant pas la peine de venir le chercher ici. M1, c'est toi qui te googlelises ou c'est Maquettes qui t'a fait une blague ? Je note aussi une recherche de "seins surnuméraires" et pourtant je crois bien que même dans Freaks, elles n'en avaient que deux. Et je remarque également une recherche des "tendances été 2009" et là, juste je me la pète d'être si bien considérée.

Allez, c'est parti pour un dix-huitième florilège. Un très subjectif florilège. D'aucuns prétendront qu'elle m'achète à coups de sandales Barbara Bui à talons argentés et je leur rétorquerai que même pas vrai. Mais j'ai florilégé pas moins de trois comm's de Benetie. C'est injuste ? C'est ainsi.

Chez Fressine, qui nous narrait son déjeuner sans suite avec Hubert de la Bite en l'Air, Benetie (après avoir vaincu l'antispam), a dit le 3 janvier : eh ben voilà, suffisait que je m’énerve pour que ça marche… pfff.
Alors, je reprends: je disais que, hi hi, j’adore le “De la Bite en l’Air”! ici, à Déprimeland, ç’en est truffé de noblaillons, je les appelle les “De Mon Cul” et ils sont sacrément gratinés. Y’a un couple que je connais (mais de loin, hein, j’approche pas ces bestioles) qui s’est marié dansle Cantal il y a quelques années et le thème du mariage, c’était: La Nouvelle Orléans.
Et ils avaient fait ça bien: TOUS les serveurs étaient noirs… la nostalgie des champs de coton en quelque sorte…

Chez Dyns qui ne dissertait même pas du sexe des gynecos, se contentant d'un postcriptum en forme de question de préférence, Benetie a dit le 4 janvier : mon gynéco est un homme, homo, qui a quitté sa femme pour un mec après lui avoir fait 2 enfants (à sa femme)... C'est le comble, quand même un gynéco qui vire sa cutie après 10 ans d'exercice... nan?

Chez Garance, qui nous vantait comment sa copine Superchic porte la ballerine Texto avec le même brio que si elle sortait de chez Alaïa, Benetie, a dit le 9 janvier : ha ha ha… moi aussi je me suis fait avoir plusieurs fois: ç’qu’on se sent gourde dans ces moments-là… Mais je crois que le plus jouissif, c’est quand tu arrives à berner des soi-disant “experts”. Un jour, j’étais allée jeter un coup d’oeil à la collec Barbara Bui, je portais une robe Zara.
La vendeuse s’est extasiée devant ma robe en me disant:”votre robe, c’est Catherine Malandrino, c’est ça?”…
J’ai jamais osé lui avouer que les spartiates que je portais avec venaient de chez Carrefour ;)

Chez Solenne, qui nous expliquait comment le R. de son boulot trouve qu'elle s'habille comme une gamine et en profite pour s'extasier sur la directrice marketing tout en tailleur pantalon noir et en crinière rousse impeccablement en place en lui disant "tu vois, ça c'est une femme" ! Mzelle-fraise a dit le 4 janvier : Un mec avec des réflexions pareilles, ça me fait dire : "tu vois, ça, c'est pas un mec". Non mais.

Chez Camille, qui nous contait comme ça la gave cette histoire de galettes remplies de fèves moches qu'elle n'a de toutes façons jamais, Zabou a dit le 6 janvier : Moi j'aime bcp la galette! Et j'ai tjs essayé de tricher pour savoir ou était la fève, mais malgré tout, je ne tombe jamais dessus non plus! Mais cette année, on a décidé avec ma soeur que si une de nous tombait sur la fève, on prendrait l'autre comme reine. Un couple royal homosexuel. Et incestueux. Pas mal, hein?

Chez Galliane, qui nous indiquait qu'à l'instar de ce qu'indiquait dernièrement un édito de ELLE (ce que je ne saurais confirmer, même en tant qu'acheteuse et archiveuse du susdit magazine, je ne lis pas l'édito) il convenait de choisir de rallier le camp des "nature" ou le camp des "bling-bling", Violette a dit le 8 janvier : Et quand on est au milieu du nature et du bling, comment qu'on fait, je te demande ?
Hein ?
Ouais, tu sais plus quoi répondre, je vois bien.

Sur ce déchaînez vous sur les commentaires, ici ou ailleurs, et à une prochaine fois.

jeudi, 10 janvier 2008

L'hiver au chaud, c'est Essentiel (part II)

Le premier jour des soldes, dans ma ville que j'aime pas, c'est vite plié. La cohue est relative et les points de vente qui m'intéressent, peu nombreux. Je me doutais bien que mes vraies envies - pour ne pas parler de besoins - seraient repoussées à mon proche séjour parisien.

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Je ne l'avais pas calculé, lui. Pas vu venir, le petit gilet de fourrure, chaud sans être encombrant, un peu folklo mais sans excès.

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Il se sont tout de suite plu, avec la blouse Isabel Marant de BérAngère.

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Cette fois encore, la douceur et la chaleur sont signées Essentiel.