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lundi, 09 mai 2011

Dans le secret de la création chez Le Tanneur

Sac Le Tanneur

Au printemps dernier, j'avais eu l'occasion de tester le sac Nora et de me familiariser avec la marque Le Tanneur. Cette fois, Anne-Charlotte Desoutter, styliste chez ce maroquinier, m'a expliqué dans le détail comment est née la collection  femme de ce printemps 2011, basée sur le thème de l'invitation au voyage. Entretien.

- Comment travaillez-vous le produit Le Tanneur ?

- Le secteur femme existe depuis 12-13 ans, nous proposons un produit traditionnel par ses qualités de fabrication, mais également mode, avec une grande variété de modèles et de couleurs. Chaque collection, c'est 300 références en moyenne !

- Comment avez-vous abordé cette collection été ?

- Nous travaillons avec un bureau de tendances parisien et différentes sites. Cette saison nous sommes partis de l'idée d'un carnet de voyage, et la collection s'est naturellement découpée selon quatre thèmes. L'invitation au voyage propose des cuirs "terreux", des aspects vieillis et vintage, assez roots. Bain de printemps s'appuie sur des couleurs de fleurs, des toiles très fraîches, en opposition avec d'autres, brillantes, c'est une explosion de couleurs. Jardin des délices joue la carte de l'Orient, du cuir matelassé et des motifs orientaux, arabesques et spirales. Le cuir noué sur un rabat rappelle par exemple le turban. Le quatrième thème, radical effect, privilégie des petits modèles structurés, qui vieillissent bien, dans une gamme de bleu marine et de beige.

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samedi, 07 mai 2011

L'éternel retour de la résille (qui titille ?)

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La première qui a frappé mon neurone fashion, c'était à Milan. Et elle portait, qui plus est, des salomés Baya de Repetto (sur lesquels j'ai recraqué en couleur "algue", au fait, mais c'est pas le sujet, j'y reviendrai).

La seconde, c'était dans l'escalier d'un des nombreux quais de gare qu'il m'a été donné de fréquenter ces derniers jours.

Pas besoin d'en voir davantage. Mon neurone fashion n'est pas bien long à se connecter en mode moutonnerie. De la grosse résille nude, j'en voulais moi aussi. Je misais sur Falke mais le corner des Galeries Haussmann n'a rien d'autre en la matière, actuellement, que du Max Mara. A croire que l'éternel retour ne fait que s'amorcer.

Madame Figaro Marion Cotillard.jpg

De nouveau à la gare, pour prendre le train du retour, je suis tombée sur Marion Cotillard et ses résilles. Oui, enfin, en couv' du Fig' Mad'.

Décidément.

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mercredi, 04 mai 2011

Et ça, c'est vrai !

Eram_1.jpg

Ce week-end, j'étais bien trop occupée pour ouvrir mon Grazia (cela étant, j'ai rencontré à Hyères une charmante journaliste web de ce magazine, ça compensait largement !).

J'ai donc découvert dans le train du retour la pub Eram qui y était insérée. Pour un peu ça m'aurait réconciliée avec la SNCF et ses retards récurrents.

Eram_2.jpg

L'allusion à The Kooples est transparente, mais tout en subtilité. Avec un "Et ça, c'est vrai" qui tue sa mère son couple (et sent un peu sa mère Denis, pour lâcher une allusion publicitaire qui trahit sa quadra aussi sûrement que de tendre exagérément les bras pour tenter de déchiffrer des catactères même pas si petits que ça).

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mardi, 03 mai 2011

Quelle sera donc ma seconde paire de Chie Mihara ?

Sandales Chie Mihara Spartoo.jpg

Chie Mihara, j'ai mis le temps pour craquer. Mais, convertie au confort réputé de la marque, je pense déjà très fort aux prochaines. 

Chie Mihara spartoo.jpg

Pas de revendeur de la marque dans ma ville que j'aime pas mais le site Spartoo propose une boutique Chie Mihara regorgeant de tentations.

Et les prochaines, il y a de grandes chances pour qu'il s'agisse des sandales beige et noir Kalili. Le beige et noir répond parfaitement à mes nouvelles et surprenantes envies de classissisme. Mais avec juste le petit twist asymétrique indispensable, parce-que-quand-même-faut-pas-déconner-non-plus.

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