Doucement le matin, pas trop vite non plus l'après-midi

Elle semble pas mal dubitative, Vanessa, non ? Elle l'a, elle, son 505, pourtant, si j'en crois le ELLE de la semaine.

Mais si, LE 505, de son petit nom de code, ce vernis "Particulière" de Chanel, sorti en janvier et sitôt épuisé.

Lorsque je me suis mis en tête de dénicher la bête dans ma ville que j'aime pas, il en restait un unique flacon. Mais impossible de juger du rendu du machin parce que le testeur avait été volé par quelque fashionista désargentée. Déjà que le précédent vernis de la hipness, le Orage de YSL, avait été épuisé en deux temps trois mouvement cet automne, faut croire que ça suit drôlement bien la tendance, pour ce qui est de la couleur de l'ongle, dans ma ville qui-que-quoi. Même si pour le reste, du côté des vitrines notamment, ça se voit pourtant "trop pas".

Pour ce que j'en avais vu, le 505 me paraissait très proche du fameux You Don't Know Jacques de O.P.I.

Pas si facile, la question du nombre de commentaires qui devait permettre de départager tout le monde pour les 15 lots de 3 vernis O.P.I (pour ce qui est des autres questions, le vert émeraude s'appelle bel et bien Here Today... Aragon Tomorrow et il y a six coloris dans la collection Matte).

Combien y avait-il de commentaires sur ce blog à la date du 29 septembre à midi ? Je m'étais dit qu'un bref coup d'oeil aux archives et une moyenne à la louche devait permettre de passer pas loin.

14849 (et à peine moins de 661 billets, il traîne juste quelques brouillons).

Au tout début de l'automne 2008, j'ai remarqué dans la presse les pubs O.P.I. pour la collection de France. Comment ne pas les voir ? Pas si évident, au premier abord, de comprendre qu'il s'agissait de vernis à ongles plutôt que de vêtements.

En septembre de l'année dernière, lors d'un séjour à Paris, j'ai chopé au Monop' de la rue de Rennes un flacon de Parlez-vous O.P.I ?, ce mauve smoky que j'ai adoré porter tout l"hiver dernier.