Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 01 novembre 2011

Ode à De profundis

De Profundis Lutens.jpg

Il y a la fragrance, bien sûr...

Mais aussi ce violet profond, ce flacon arrondi. Et ce nom. Ce nom...

De profundis.

Un parfum. Couleur de deuil, inspiré par la mort, tel que seul Serge Lutens puisse l'oser. Avec pour devise : "Aucune concession, fut-elle perpétuelle !"


Un parfum. Fleuri. Comme les tombes, oui.

Un parfum. Hommage à Oscar Wilde, aussi, en référence aux écrits adressés, depuis sa prison, par ce dernier à son amant Lord Alfred Douglas.

Un parfum. Dont je ne me lasse pas. Qui figure parmi mes préférés de Serge Lutens, et on sait ici que j'en aime quelques-uns...

Un parfum. Dont on me demande immanquablement la provenance, lorsque je le porte.

De profundis. Lorsque je cite son nom, j'aime constater comme cette séduction se teinte de stupéfaction...

 

PS : De profundis est proposé en flacon de table, uniquement aux Salons du Palais Royal à Paris et sur le site des parfums Serge Lutens.

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Commentaires

Cette description donne envie de tester ce parfum! Je regrette presque qu'il y ait tant de choix parmi les parfums aujourd'hui, car il devient de plus en plus difficile d'en choisir un......

Écrit par : Jennifer - Stylish Clin d'Oeil | mardi, 01 novembre 2011

Je ne connais que ces parfums-là, et je suis incapable de porter autre chose que du Lutens. Mon préféré reste Fumerie Turque mais j'espère avoir l'occasion de passer au Palais royal dans les semaines qui viennent.

Écrit par : lily | mercredi, 02 novembre 2011

Quelle invitation au songe dominical, chère Frieda !

Écrit par : le vieux pull | dimanche, 06 novembre 2011

@Jennifer : moi, je suis tombée tête la première dans le Lutens et je porte plus rien d'autre... Mais j'alterne.
@Lily : tiens, un point commun de plus ! ;-)
@Le vieux pull : de retour ? Youhou !

Écrit par : frieda l'écuyère | lundi, 07 novembre 2011

Les commentaires sont fermés.