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lundi, 30 janvier 2012

Murmures de de la mort

De profundis.jpg

Le mur de la mort, ainsi s'intitule le billet de Violette aujourd'hui.

Apprendre un décès, c'est violent.

L'apprendre via Facebook, "entre un LOLCAT et une photo de vernis à ongles", comme le dit Violette, c'est indescriptible.

Cela m'est arrivé, au printemps dernier, pour un proche géographiquement très éloigné. J'ai lu trois fois de suite le statut posté par sa fille. Me refusant à comprendre ce qu'il y avait à comprendre.

C'est un truisme que de dire que nous ne mesurons pas encore les effets des réseaux sociaux sur nos vies. Et pourtant...

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Commentaires

Merci ma Fri (on se comprend à 100%) !

Écrit par : Violette | lundi, 30 janvier 2012

Il y a la relance ou la suggestion occasionnelle de Facebook ou Linked in de vous connecter ou devenir ami avec cette copine de bureau décédée il y a un an.
Sa famille n'a pas su ou pu faire le nécessaire pour que ses comptes soient fermés.
Les larmes montent à chaque message.

Parce que les réseaux sociaux sont merveilleux pour échanger des nouvelles légères, des choses amusantes, comme ça vite fait en passant. Mais lorsque c'est la mort que l'on y croise, c'est un coup à l'estomac, qui coupe le souffle et laisse complètement assommé.
Non nous ne savons pas accepter la mort de proches ou connaissances via réseau social, je crois que ce n'était pas prévu lorsqu'ils ont été créés.

Écrit par : Miss Nahn | lundi, 30 janvier 2012

Il y a un peu de cette tristesse dans De Profundis... mais il y a aussi cette beauté qui tend vers la lumière, vers ce qui nous fait avancer, vers ce qui mérite d'être vécu.

Écrit par : Le Critique de Parfum ❀ | lundi, 30 janvier 2012

@Violette : exactement !
@Miss Nahn : c'est pourquoi aujourd'hui on se sent si démuni avec cette irruption imprévue mais pourtant prévisible...
@Critique du parfum : bien sûr, et c'est aussi pour cette raison que j'ai choisi cette photo, déjà postée à l'occasion d'un autre billet, pour illustration.

Écrit par : frieda l'écuyèere | jeudi, 02 février 2012

Les commentaires sont fermés.