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mercredi, 11 novembre 2015

Aux couleurs de l'automne

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C'était l'un de mes coups de coeur de la rentrée, à une époque où explosaient encore les couleurs de l'été finissant. Une paire de cuissardes en daim cognac ou bordeaux.

Et en cette saison de feuilles mortes, le coup de coeur ne s'est pas démenti.

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Pas pour les Gianvito Rossi, totalement hors budget et qui le resteront même soldées, mais pour un ersatz signé Minelli, bien plus abordable.

Je ne le verrai pas partout, il est disponible en ligne et dans une sélection de magasins de l'enseigne, et sans doute bien plus diffusé en noir.

Mais ce qui m'a séduit, dans ce modèle, c'est justement sa couleur de feuille d'automne, aux réminiscences furieusement seventies.

Seul regret, que le modèle, comme tous ceux édités en grande diffusion, s'arrête juste au dessus du genou quand je l'aurais bien vu monter plus haut. Probablement une question de prix de revient (donc de vente) et d'économie sur le cuir. Peut-être aussi est-ce jugé plus portable. Bref, ceci mise à part, voilà un modèle réussi, confortable, marchable, et plutôt bien fini.

Fuyant les complications, j'ai découvert un peu par hasard que je n'aimais rien tant que les porter sur un jean brut. Elles sont suffisamment larges pour cela tout en étant taillées pour concerver une ligne élancée.

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mardi, 06 octobre 2015

Drôles de zèbres

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Tentant de rattraper mon retard (qui est grand, elles se terminent) en matière de fashion weeks, je suis tombée sur cet article du Next de Libé, faisant l'éloge de la subtilité en général et de la collection d'Haider Ackermann en particulier.

Cette dernière, de collection, ne m'a pas émue plus que ça avec son "rewind" à coups de crêtes et de bouts pointus mais, MAIS, j'ai immédiatement repéré qu'on y évoquait les touches de motifs zèbre distillés sur les accessoires.

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Il se trouve que quelques jours plus tôt, j'étais tombée en arrêt sur l'un des nouveaux modèles de chez Abaco, qui, quoi que nommé Lou... tombe en plein dans la tendance zèbre.

 

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Un petit tour parmi les collections actuelles m'a vite confirmé qu'il s'agit bien d'une tendance. Le zèbre est aéré chez Ba&sh.

 

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lundi, 07 septembre 2015

Le paradoxe du rétro (trop ? trop !)

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Certes, je cultive depuis des lustres une certaine fascination pour l'élégance délurée des années folles, j'ai acheté il y a près de 10 ans pour 20 euros chez Emmaüs un de ces petits bureaux d'esprit scandinave dont les lignes sont aujourd'hui pillées par les enseignes de grande distribution d'ameublement sous le vocable de "style vintage" et j'abuse de l'utilisation des films et lentilles rétro de l'appli Hipstamatic..

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Certes, je je ne suis pas la dernière quand il s'agit d'accrocher sur une silhouette à lavallière qu'on croirait sortie d'un film de Claude Sautet (et d'ailleurs je lorgne sur les pièces seventies rééditées par La Redoute), ni non plus quand il s'agit de se donner un coup de peps grâce à l'énergie swing de Parov Stelar...

 

Certes.

N'empêche, je commence quand même à saturer avec cette obsessionnelle nostalgie qui s'affiche désormais partout.

Sur les ondes de France Inter, Simon Liberati (dont je viens d'acquérir l'un des titres de cette rentrée, Eva) énonçait dernièrement : "Même les noms de voiture sont ceux d'il y a 60 ans". Voilà. DS en tête.

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Samedi sur Arte était diffusée la Révolution rétro, dont est issue la photo ci-dessus, qui n'a pas été prise au siècle dernier ni sur un tournage de film en costumes mais lors d'un rassemblement dansant de passionnés de styles rétro. Pas très révolutionnaire en réalité, cette tendance à vouloir ressusciter le passé en n'en gardant que le "style" (parce que sinon, qui aurait envie de s'en aller vivre pour de bon dans les années 30, ou même 50, sans internet, sans téléphone portable, sans contraception voire sans congés payés, dans une société on ne peut plus codifiée où chacun était convié à surtout savoir "rester à sa place" ? Hein, qui ?).

Dans ce reportage, où foisonnent les exemples, une jeune femme impeccablement coiffée et habillée comme devait l'être sa grand-mère joue à la dînette en préparant le repas pour son mari en marcel et casquette qui lit le journal. Mais c'est lui qui fait la vaisselle, précise-t-elle. A elle, ça lui abîme la manucure. Et puis on est en 2015, merde.

Que restera-t-il du style de nos années 2010 ? Pas grand-chose sans doute sinon un remix vaguement electro des décennies qui ont précédé.

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vendredi, 28 août 2015

Cinq petits plaisirs qui boostent ma rentrée

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Commençons par la note ludique. Nathalie Lété a annoncé sur Facebook la sortie de nouveaux magnets qu'elle a dessinées pour Vilac. Pour les enfants donc. Je vais m'empresser de me les procurer. Pour moi.

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Pour une fois je n'ai pas été déçue à la lecture du Marie Claire Idées sorti cette fin août. Plusieurs des sujets m'ont donné des envies de m'y remettre. Notamment l'idée de réaliser des coupes à fruits à la ficelle crochetée. A cette saison, j'use et j'abuse de la consommation de fruits - raisin muscat en premier lieu - et manque de jolies coupes pour les présenter. Bon, teindre la ficelle moi-même, je suis pas sûre... Mais ça peut aussi être joli au naturel non ?

 

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La quête des cuissardes parfaites... Vaste programme. En parcourant le Grazia sorti la semaine dernière j'ai été interpellée par un modèle de bottes lacées très seventies (on va en manger de la tendance 70's en cette rentrée, une fois encore). Je suis allée voir sur le site de Gianvito Rossi, par curiosité. Et suis alors tombée sur ces parfaites, très hautes sur la jambe, moulantes, pas plates mais avec un talon praticable. Et même pas noires. Ce qui, à y réfléchir, est plutôt un bon point. Bon, certes, le prix de ces superbes italiennes les place totalement hors de ma portée. Mais cela veut dire qu'elles existent, c'est encourageant.

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Etant actuellement quelque peu handicapée par une fracture mal placée, je peine à trouver chaise confortable. Contre toute attente, mes Ava, de chez Roche-Bobois, quoique réalisées en résine, très dure, me conviennent parfaitement.

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jeudi, 20 août 2015

L'illustration de mode se porte bien !

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C'est une collaboration qui fait forcément penser à celle d'Isabelle, au printemps dernier, pour Damart (je parierais bien d'ailleurs que l'initiative a de fait essaimé) : même style de sweat gris parmi les propositions, un petit tote bag souvenir en bonus. A ceci près que Clément Dezelus a conçu trois modèles pour l'enseigne, qui s'adresse par ailleurs à une clientèle plus jeune que celle de Damart : deux t-shirts et un sweat.

L'affaire n'a pas dû être tant médiatisée, peut-être à cause d'une commercialisation autour du 15 août, toujours est-il que je l'ai découverte en passant devant les vitrines du magasin Promod situé près de chez moi.

Clément Dézelus Promod.jpgClément Dezelus est un illustrateur qui a collaboré notamment ces dernières années avec Isabelle Thomas et Frédérique Veysset en réalisant les illustrations de leur trilogie de guides pratiques Your so French, Your so French Men etSo Shoes.

On retrouve sur cette collection capsule ses longues silhouettes dessinées au trait et ponctuées de couleur (la petite pochette rouge est métallisée).

 

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J'ai craqué pour le t-shirt gris, dont j'apprécie particulièrement la silhouette placée en décalé, sur le côté. Mais j'aime aussi beaucoup la délicatesse de la fille au trench qui figure sur les sweat.

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mardi, 04 août 2015

Un p'tit coin de parapluie... de Jouy

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Au détour d'une visite de château en Bourgogne, je suis tombée à la boutique sur ce parapluie aux airs un peu Grand Siècle.

J'ai notamment succombé à son double jeu.

 

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De l'extérieur un kaki tout ce qu'il y a de lambda et passe-partout.

Et à l'intérieur un déploiement de quatre saisons, nom du thème de la Toile de Jouy (de 1785 !) qui y est reproduit.

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mercredi, 22 juillet 2015

Les jolies choses de chez Boden

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C'est un mail adorable, comme on en reçoit parfois, qui me parlait de mon blog en des termes qui font bien plaisir et me proposait de découvrir le site Boden en y faisant quelques emplettes.

Je dois avouer que Boden, je ne connaissais pas. Et que cette enseigne est donc pour moi une totale découverte. "British style" annonce la couleur d'entrée. Rien de plus juste, il y a dans les collections un art de la couleur, du motif inédit, une façon d'oser tout en restant sage qui est typique de ce que l'on trouve Outre Manche.

J'ai eu le plaisir de réaliser mon petit shopping en période de soldes, et mon premier choix s'est porté sur ce top en lin délicieusement rétro dont j'adore l'imprimé géométrique furieusement seventies. Quant aux qualités du lin, en période de canicule, elles ne sont plus à démontrer. J'ai craqué sur son petit côté "devant-derrière", une forme de "non-sens" anglais, en quelque sorte.

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Les imprimés sont très fort chez Boden, qui a fait des gros pois sa marque de fabrique, et que l'on retrouve sur ses emballages, jusqu'au papier de soie. Mais aussi sur pas mal de vêtements, dont le top en question.

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En second lieu, j'ai cependant craqué pour un autre imprimé, celui des fleurs de cette robe qui me rappelle l'élégance des années 60.

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Je dois dire que j'ai longuement hésité avec la version bleue... A noter que beaucoup de modèles, comme cette robe, sont proposées en trois statures, pour habiller au mieux celles qui font 1,60 m comme celles qui font 1,75 m.

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Mais je dois bien avouer que ce que j'ai repéré en premier chez Boden, ce sont les cachemires. Pas du tout de saison, certes, mais déclinés dans une grande variété de formes et une palette de couleurs de bonbons anglais à tomber.

Alors même si je n'ai évidemment pas encore porté le mien, à part pour la photo, j'ai imaginé la petite robe en septembre, réchauffée par un petit gilet court qui n'en casse pas la ligne.

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vendredi, 10 juillet 2015

Petits trésors soldés

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J'avais pensé m'en offrir une paire ce printemps.

Une paire de derby Zizi de chez Repetto.

Et puis j'avais décidé d'attendre, ne sachant trop pour quelle couleur opter et étant tout de même un peu rafraîchie par le prix (les prix qui ne cessent de monter, chez Repetto).

Et puis, au détour des débuts de soldes, je suis tombée sur la paire qui n'est jamais soldée, en tout cas pas chez Repetto : les Zizi blanches, emblématiques, celles dont Gainsbourg ne se séparait jamais.

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Ainsi qu'en témoigne cette photo où il arbore l'intemporel alliage veste à rayure tennis-jean élimé-Zizi blanches.

Repetto ne solde jamais une paire iconique du genre en blanc. Sauf que chez un commerçant indépendant, c'est un peu différent. On liquide les stocks. A moins 40 %, il n'y en avait qu'une seule paire et dans ma taille.

La bonne surprise du jour.

Laetitia Casta Repetto.jpgPhoto Pamela Hanson/ELLE

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mardi, 23 juin 2015

Toile(s) de Jouy

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Désormais je n'achète quasiment plus de presse papier. Tout est en numérique.

Sauf quand il y a de petits goodies qui ne sont distribués qu'avec la version papier, comme c'est le cas (avec le dernier Marie Claire Maison) pour ce petit carnet de notes à l'imprimé signé Manuel Canovas et qui est assorti à des taies d'oreiller que j'ai achetées il y a des années.

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Cet imprimé façon toile de Jouy faisait écho à un petit article paru dans ELLE cette semaine au sujet de la sortie d'un livre consacré à Oberkampf, fondateur de la manufacture qui s'illustra dans le domaine.

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Je me souviens avoir visité le musée de Jouy-en Josas il y a plus de 20 ans, alors que la toile de Jouy opérait à peine son virage vers un certain renouveau et en avoir gardé depuis un penchant pour ses motifs parfois exubérants et parfois désuets. Rien que la couv' de ce livre est pleine de promesses.

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vendredi, 22 mai 2015

La claque ou la classe

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Bah, comment dire...

Je ne suis pas emballée par une Inès de la Fressange en culotte qui tire sur son pull comme une gamine en couv' de ELLE.

Et même si la culotte (que l'on ne voit pas) est signée Erès.

Etait-ce bien nécessaire ?

Pas de mettre Inès en couv', c'est une grande amie de ce magazine, avec ou sans Valérie Toranian manifestement et on l'y voit régulièrement. Aujourd'hui, c'est donc la nouvelle directrice de la rédaction, Françoise-Marie Santucci, qui ne tarit pas d'éloges à son sujet dans son édito. Et puis, plus modestement et personnellement, je garde un magnifique souvenir d'une interview d'une adorable Inès, que j'avais réalisée à une époque où, pour moi, ça rigolait pas des masses. Non, mais la pose et surtout la tenue ?

On a déjà eu Sophie Marceau en culotte à Cannes, ça pouvait suffire, me semble. A ce sujet, bravo à Grazia qui a lancé son quotidien disponible en ligne et en PDF sur son site. Un régal. On comprend vite pourquoi quand on regarde les signatures, de Gérard Lefort à Olivier Séguret en passant par Marie Colmant.

Bref, voyant cette couverture de ELLE s'afficher sur mon iPad ce matin, j'ai tiqué. Et pourtant Inès reste mieux foutue que la plupart des filles qui ont 30 ans de moins qu'elle et je ne suis pas bégueule. Alors ? Ben alors, je crois qu'être en culotte à 20 ans en couv' de ELLE, si l'on est actrice ou même femme d'affaires (ce qui est plus la profession d'Inès aujourd'hui que celle de mannequin, sa propension à faire du placement produit à tout détour d'interview étant par ailleurs agaçante, mais ceci est un autre débat) et non pas modèle pour maillots de bain, peut passer pour un péché de jeunesse. Un côté un peu démonstratif (et mes fesses, tu les aimes, mes fesses ?) somme toute pas bien méchant.

Mais à, euh, 57 ans, comme nous l'indique aimablement l'ami Wiki, cela me semble un peu pathétique. Sans doute pas l'idée d'Inès, cette série de photos signée Pamela Hanson et dont le stylisme a été supervisé par Jeanne Le Bault - deux femmes, donc. Sans doute l'idée était-elle d'illustrer au plus près de son sujet cet étrange portrait somme toute assez creux signé de l'actrice et réalisatrice Hélène Fillières, titré "A son corps défendant" et tournant autour de l'obsession et de l'embarras de cette dernière vis à vis de la question du corps. Mais cela n'imposait pas pour autant une couv' en culotte ?

A y réfléchir, j'ai fini par définir ce qui me dérange. La photo claque. Mais pas dans le bon sens du terme. Pour la grande classe on repassera.

Or, plus j'avance en âge, et au-delà de 50 cela devient flagrant, plus ce qui compte selon moi n'est pas de s'interdire tel ou tel vêtement, telle ou telle couleur. Non, la vraie question est celle de l'élégance. Pas une élégance convenue, mais une élégance qui ait du peps, ce qu'Inès sait parfois si bien faire par ailleurs. Or, se balader en culotte, je ne parviens pas à trouver que c'est élégant. Même si on reste "encore" bien foutue.

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Et quitte à faire du placement produit, y avait matière avec le vestiaire qu'Inès de la Fressange a composé pour Uniqlo. Par exemple.

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