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jeudi, 03 septembre 2009

Quel état de grâce pour Grazia ?

Grazia.jpg

magazine67.jpgAvant même d'acheter ce Grazia, avant même d'avoir vu la couv', avant même d'y jeter un oeil - et même les deux - je me suis dit qu'il fallait un sacré courage, aujourd'hui pour se lancer dans l'aventure d'un nouvel hebdo féminin.

ELLE règne en maître et dans son genre n'a pas de concurrents. D'autres s'y sont cassé les dents, il suffit de se souvenir de l'éphémère aventure de Jasmin.

Donc, en préalable à tout ce qui va suivre, j'ai tout de même très envie de saluer une initiative qui ne manque pas de panache.

J'ai embarqué ce Grazia avec un énorme tas de presse samedi (Jalouse, Milk, Libé et son Next, Le Figaro et son Madame, etc.) mais ne l'ai ouvert que lundi. De fait, l'alliage annoncé de la mode et du people n'avait pas de quoi me faire sauter en l'air. Ca marche bien, la presse people, tout le monde s'y met, même les news magazines posant à la presse sérieuse y viennent l'air de rien, n'empêche, si je ne suis pas la dernière à la lire chez le dentiste et à trouver fun certaines montées de marche, la presse people, je m'en cogne et je ne l'achète pas.

Et ce n'est pas la couv' jaune-noir-blanc avec Kate Moss qui a précipité mon mouvement. Pfffff, Kate Moss, encore ? Trois ans après tout le monde ?

Ensuite, j'ai feuilleté les 180 pages en quelques minutes et d'emblée, je n'ai rien compris au déroulé ni au rubriquage. Tout m'a semblé confus, passant d'un sujet mode à une rubrique culture et d'un sujet de société à une interview people sans  que jamais je parvienne à m'y repérer. Quant à la maquette... Dans un premier temps, j'ai pensé à Gala. Ensuite, ce jaune et ce noir, ça m'a surtout rappelé... Entrevue.

Ouille.

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