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lundi, 06 décembre 2010

Endermolift, acte II

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Deux fois par semaine, je prends ma voiture, qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente (et je peux vous dire que ce n'est pas une image, ici, c'est la gadoue, la gadoue, la gadoue...) et je vais me poser, à la campagne, à l'institut d'esthétique de Rose, pour quarante minutes (l'acte I, avec le pourquoi et le comment de cette cure que LPG m'a proposé de tester est ici).

Au minimum, quarante minutes. Parce que Rose est une femme généreuse, peu avare de son temps, qui m'offre généralement un petit massage du visage, ou un maquillage bonne mine en plus du soin Endermolift.

Je viens de vivre ma sixième séance, il ne m'en reste donc plus que quatre. "Plus que" ? Eh oui, c'est addictif, les séances d'Endermolift. C'est déjà un moment de détente incomparable, au bout de vingt minutes, je suis en général plongée dans un demi-sommeil, dire si les effets de la machine sont soft et agréables.

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mercredi, 17 novembre 2010

Endermolift, acte I

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Les injections, la chirurgie, les techniques invasives ? Non merci. Avec le temps tout fout le camp ? Ben tant pis, aucune envie de devenir le clone pathétique d'une actrice sur le retour, défigurée.

De là à dire que je me réjouis de ressembler un des ces jours à une vieille pomme ridée oubliée, faut pas non plus déconner.

J'ignorais tout de la technique anti-âge mise au point par LPG Systems (dont je savais en revanche qu'il était l'inventeur du Cellu M6) jusqu'à ce qu'Alice me contacte pour me proposer de tester le procédé. A la veille d'un hiver riche en promesses de mine de papier mâché, j'ai été plus que tentée de m'y prêter. Et ai eu la chance d'être retenue pour participer à une cure de soins du visage de dix séances, tout comme Virginie, pleine de promesses mais non invasive, donc.

La première a eu lieu la semaine dernière, dans un institut de beauté situé à la campagne, avec l'adorable Rose, dont c'est peu de dire qu'elle est aux petits soins pour moi. J'ai opté pour le programme "lift", celui qui raffermit les contours, attendant avec quelque curiosité, plus qu'appréhension, le verdict de la femme de l'art, lors de l'étape d'évaluation visant à fixer les objectifs de la cure.

Verdict ? J'ai la peau d'une femme de 35-40 ans, m'a-t-elle affirmé sans ambages.

Ouais bon, allez, c'est bien gentil de m'attribuer à la louche une dizaine d'années de moins que ce que  persiste à clamer mon état-civil, mais sinon, en réalité ?

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