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samedi, 11 juin 2011

Corpus Christi ? Veni, vidi, vici !

Corpus Christi_Lilith.jpg

Moins de 48 heures à Paris alors que les appels aux ventes privées clignotent plein les boîtes mail ?

Voilà qui implique d'être drôlement sélective et/ou organisée.

Je n'en ai fait que deux, faute de temps et de... moyens, quand même, aussi, un peu.

Frieda bis.jpg

Celle de Corpus Christi me tenait à coeur. Je n'avais jusqu'ici qu'une seule pièce de cette marque de bijoux, mais ce colllier est pour moi emblématique puisqu'il figure sur une photo qui est depuis devenu une sorte de logo de mon blog, au point d'être aujourd'hui encore, trois ans après que je l'ai prise, mon avatar Twitter.

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samedi, 21 novembre 2009

Tout un bazar pas si chic

carte-de-presse.jpgL'une de mes amies, non blogueuse, m'a alertée quant à ses récentes mésaventures avec le site BazarChic, qui jusqu'ici ne lui avait guère causé de souci.

Deux commandes jamais livrées, bien des problèmes pour communiquer, les pires difficultés pour se faire rembourser...

D'autres infortuné(e)s client(e)s ont connu semblable expérience. Google est bavard, à ce sujet. Google a une excellente mémoire. Vous chercherez vous mêmes, si le coeur vous en dit. Et vous ne chercherez pas longtemps.

Il est bien possible que j'aie commandé un jour chez BazarChic, je ne m'en souviens pas. Je sais avoir dû renvoyer en râlant et à mes frais des chaussures qui ne m'allaient pas, mais je ne sais plus chez qui, avec tous ces sites et tous ces noms qui parfois se ressemblent - il en existe d'ailleurs un autre, qui se dit chic. Ni chaussures, ni lingerie, tel est donc désormais mon credo sur les sites de ventes privées. Dont je balance par ailleurs en spams, depuis l'avènement d'un certain défi shopping, les multiples offres dont je suis bombardée. Sauf unique exception qui confirme la règle, sur laquelle je reviendrai prochainement. Ou pas.

Sur la plupart des sites de ventes privées, les échanges se font via la rubrique Contact. Ce qui, lorsqu'on a supprimé son compte (comme dans le cas de mon amie très fâchée), empêche tout accès ultérieur aux mots peu aimables qui ont pu être échangés.

Dans le Figaro Madame de la semaine dernière est paru un article fort élogieux à l'endroit de BazarChic. Lequel a eu le don de faire sortir de ses gonds l'amie en question.

Bazarchic.jpg
Un article, donc. Pas un publi-rédactionnel. Un vrai article de vraie journaliste. Ou supposée telle.

Pour le coup, c'est mon amie, qui aurait dû être journaliste. Qu'a-t-elle donc découvert, en fouillant un peu via Google à l'excellente mémoire ? Que le groupe Le Figaro a pris des parts, à hauteur de 20 %, dans le capital de Bazarchic, dans le cadre de ses développements dans les nouveaux médias .

Tout s'explique.

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