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mercredi, 07 septembre 2011

Merci à ELLE !

ELLE spécial mode.jpg

Je râle parfois après ce magazine avec lequel j'ai un lien particulier depuis ma plus tendre enfance, souvenez-vous du ELLE vintage que j'ai assuré durant trois ans... Mais j'ai aussi bien du mal à m'en passer et, lorsqu'une certaine élégance y est de mise, il est bon de le souligner.

Cette semaine, le Spécial Mode n'a pas été livré sur tout le secteur de ma ville que j'aime pas. Désespérant de le voir arriver un jour - et d'ailleurs il n'était toujours pas en rayon hier - j'ai contacté lundi les services commerciaux du magazine.

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dimanche, 05 juin 2011

Question(s) de genre(s)

Zoé Héran_Georges du Fresne.jpg

Le sexe est affaire de biologie. Le genre "se rapporte à des catégories plus problématiques de masculin et de féminin selon Maccoby en 1988 ou Bem en 1989.  Le sexe est donc fixé à la naissance, mais les sexes-rôles de genre doivent être acquis". Et l'on bascule alors dans un univers balisé de stéréotypes, ainsi que l'expose Elisabeth Deswarte sur le site Psychologie sociale, dont j'ai tiré la précédente citation.

Pour résumer, c'est là, que commencent les emmerdes pour qui a le malheur de s'écarter du genre que devrait lui conférer son statut biologique. Et ça commence très tôt... 

C'est ce que montrent, avec un remarquable effet de miroir inversé, deux films sortis à 14 ans d'intervalle, chacun avec pudeur et subtilité.

Je viens de voir Tomboy, de Céline Sciamma, avec Zoé Héran dans le rôle de Laure qui voudrait tant être Michaël, et ce film m'a remuée.

A sa sortie, j'avais vu Ma vie en rose, d'Alain Berliner, avec Georges du Fresne dans le rôle de Ludo, petit garçon singularisé par son goût des paillettes et des voiles de mariée, film qui qui m'avait alors tout autant marquée.

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mardi, 31 mai 2011

Allo, Maman...

bobos.jpg

Dehors des types se pavanent, fiers de leur boucle d'oreille et de leur coupe 80's,
comme les mètres carrés de ce qu'ils ont appelé l'APP-ART,
endimanchés qu'ils sont dans leurs fringues de bourges qui n'en ont pas l'air.
A leur bras, des poupées soignées dressent tissus vintage, et petites derby
couleur taupe,
beige, bleu.
Marinières à toute vapeur.

Elle y va. J'aime comme elle tacle méchamment, ma Bam-Lisa de fille, sur son blog. Sa cible ? Les jeunes bobos.

Les jeunes quoi ?

Bon sang mais s'il fallait verser des royalties chaque fois qu'on emploie ce terme, qui donc serait  multi-milliardaire ?

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lundi, 23 mai 2011

Fluidité rouge vs smoking noir

maiwenn-sur-le-tapis-rouge.jpg

Je ne me suis guère passionnée pour les montées de marches de Cannes cette année.

Je suis plutôt allée au cinéma. Voir Le gamin au vélo (où je n'ai même pas reconnu Cécile de France en Samantha, la coiffeuse, un film par ailleurs très "Dardenne", noir mais pas complètement dépourvu d'espoir pour autant) et Tree of Life, qui avait reçu la Palme d'or un quart d'heure plus tôt (et auquel je n'ai pas accroché du tout, je dois probablement être définitevement perdue pour la cause philosophico-mystique, et 2 h 18, dans ces cas-là, c'est long, très long).

En rentrant, j'ai visionné la cérémonie du palmarès, que j'avais pris soin d'enregistrer, histoire tout de même de m'envoyer une dose de mousselines et paillettes.

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