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vendredi, 18 décembre 2009

Que ma joie demeure

D'habitude, ici , il y a de l'image.

D'habitude ici, il y a de la joie (bonjour, bonjour, les hirondelles !).

Et là, dans le ciel, par dessus le toit, il y a juste des flocons de neige et une certaine lassitude.

Il y en a une qui s'est barrée. Il y a l'autre, qui y a pensé.

Pour ce qui me concerne, je n'ai pas envie de pleurer. Juste un peu envie de mordre. Esprit de Noël, n'es-tu donc point là ?

Mais je n'ai quand même pas mis 124 ELLE vintage en ligne, sans louper un seul lundi, qu'il vente ou qu'il... neige pour m'arrêter comme ça, de but en... blanc alors que je suis même pas à la moitié de la pile ?

Non, non, je n'ai pas.

Ah, et sinon, juste j'aime pas les fautes d'accord.

mercredi, 09 décembre 2009

Un petit brin de Causette

yaourt.jpg

Un bon dessin vaut mieux qu'un long discours.

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Deux bons dessins valent mieux que de longs discours.

Il m'aura fallu une virée express à Paris pour avoir enfin l'occasion de me plonger dans un numéro de Causette. Le féminisme, c'est comme midi, chacun le voit du pas de sa porte et il en est parfois qui seraient bien inspirés d'y balayer les idées reçues, devant leur porte.

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mercredi, 02 décembre 2009

En vrac et vite fait en passant #6

Double perf.jpg

*** L'éternel débat qui casse les couilles même quand on n'en a pas : si on se fait offrir des fringues, on serait une blogopute. Si on les emprunte à une marque pour faire une série de photos et ensuite les rendre, on serait une pauvre fille trop naïve bernée par le grand capital, lequel se fait de la pub sur le dos des blogs mode. Mais en revanche, si on achète un t-shirt H&M ou une paire de Louboutin que l'on présente sur son blog, personne ne trouve rien à y redire. Là, c'est pas de la pub, hein, CQFD. Mmmh, mmmh. Dans le cas des magazines, les rédactrices font un shopping et empruntent des pièces aux marques/créateurs. Ensuite, elles les leur rendent. Il arrive aussi qu'on leur offre quelques "babioles" en cadeau, à elles, perso. Le magazine vit un peu de ses ventes et beaucoup (trop ? c'est un autre débat) de ses recettes publiciraires. Mon blog n'est pas mon activité principale - loin s'en faut - et peut être lu sans bourse délier mais il engrange cela étant quelques recettes publicitaires, et, je l'ai déjà écrit, je n'ai rien contre un nombre limité de partenariats bien choisis. Sur mon blog, je présente des fringues que j'ai achetées, d'autres qui ont pu (cela demeure l'exception) m'être offertes et je vais prochainement en présenter qui me seront prêtées. Oui, c'est faire de la pub à la marque, sans doute. Mais pas davantage que si j'avais acheté ces pièces moi-même. Cela me permet en revanche de m'amuser avec des vêtements que je n'aurais pas achetés, de les tester, de les apprivoiser, de me les approprier (ou pas, d'ailleurs) sans les posséder.  Cela me donne aussi la possibilité d'établir des comparatifs, entre mon propre perf' Iro et un autre, beaucoup moins cher, par exemple. Qui plus est, prôner qu'accepter de se faire prêter des vêtements sans aucune contrepartie matérielle, c'est juste se faire avoir, revient à considérer que l'on ne saurait parler de quoi que ce soit sur son blog sans être rémunéré(e) ni gratifié(e) d'un cadeau quelconque... Au delà du fait que cet état d'esprit traduit une dérive pour le moins pathétique, à part la dernière gastro du chihuahua de la maisonnée ou des considérations de bistrot sur la météo de la veille, je vois pas bien ce qu'il resterait à évoquer, sans que cela prête à confusion, sur les blogs.

Jalouse.jpg*** Polarisée : le dernier Jalouse rend gloire au Polaroïd.

Un joli numéro créatif, plein de couleurs et aussi de noir et blanc.

Avec quelques métros de retard, j'ai fini par me mettre à la toycamera Analog Color. Les effets cramés, le faux Lomo, le Polaroïd colorisé, rien de bien révolutionnaire mais je bidouille et j'aime ça.

Mes premières bidouilleries dans le plus pur vintage free style seront en ligne d'ici la fin de la semaine.

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samedi, 21 novembre 2009

Tout un bazar pas si chic

carte-de-presse.jpgL'une de mes amies, non blogueuse, m'a alertée quant à ses récentes mésaventures avec le site BazarChic, qui jusqu'ici ne lui avait guère causé de souci.

Deux commandes jamais livrées, bien des problèmes pour communiquer, les pires difficultés pour se faire rembourser...

D'autres infortuné(e)s client(e)s ont connu semblable expérience. Google est bavard, à ce sujet. Google a une excellente mémoire. Vous chercherez vous mêmes, si le coeur vous en dit. Et vous ne chercherez pas longtemps.

Il est bien possible que j'aie commandé un jour chez BazarChic, je ne m'en souviens pas. Je sais avoir dû renvoyer en râlant et à mes frais des chaussures qui ne m'allaient pas, mais je ne sais plus chez qui, avec tous ces sites et tous ces noms qui parfois se ressemblent - il en existe d'ailleurs un autre, qui se dit chic. Ni chaussures, ni lingerie, tel est donc désormais mon credo sur les sites de ventes privées. Dont je balance par ailleurs en spams, depuis l'avènement d'un certain défi shopping, les multiples offres dont je suis bombardée. Sauf unique exception qui confirme la règle, sur laquelle je reviendrai prochainement. Ou pas.

Sur la plupart des sites de ventes privées, les échanges se font via la rubrique Contact. Ce qui, lorsqu'on a supprimé son compte (comme dans le cas de mon amie très fâchée), empêche tout accès ultérieur aux mots peu aimables qui ont pu être échangés.

Dans le Figaro Madame de la semaine dernière est paru un article fort élogieux à l'endroit de BazarChic. Lequel a eu le don de faire sortir de ses gonds l'amie en question.

Bazarchic.jpg
Un article, donc. Pas un publi-rédactionnel. Un vrai article de vraie journaliste. Ou supposée telle.

Pour le coup, c'est mon amie, qui aurait dû être journaliste. Qu'a-t-elle donc découvert, en fouillant un peu via Google à l'excellente mémoire ? Que le groupe Le Figaro a pris des parts, à hauteur de 20 %, dans le capital de Bazarchic, dans le cadre de ses développements dans les nouveaux médias .

Tout s'explique.

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