lundi, 30 juillet 2012
Roots et précieux à la fois
Je le confesse, j'ai un faible pour le python. Ou le façon python, jusqu'ici.
Dans le même temps, j'ai toujours eu du mal à envisager de me balader avec plus de la moitié d'un SMIC au bout du bras. Et encore moins dans le genre ostentatoire à logo bien visible...
Pas que ça me pose d'insurmontables problèmes de conscience, au juste, foin d'hypocrisie, mais le style n'étant pas une question de moyens, un modeste sac sorti tout droit d'une enseigne de grande diffusion peut aussi parfaitement faire l'affaire.
Bref, mon petit bordel de contradictions personnelles m'a certes poussée à acheter un Jérôme Dreyfuss (en ventes privées) et deux Abaco (en ventes privées là encore), mais cela ne m'empêche pas d'adorer la besace Pieces, bien moins onéreuse, acquise l'été dernier chez Spartoo.
Dès le printemps, j'ai lorgné, sur ce site qui est l'un de mes partenaires et qui ne vend pas que des chaussures, sur la besace Jamily en toile, cuir et python, de chez Abaco.
Des Abaco, j'en avais donc deux, dont le plus ancien a déjà six ans et s'est admirablement patiné, sans broncher tant au niveau des coutures que des fermetures. Le second, qui a bien deux ans, file sur les traces du premier.
Il y a déjà près de trois ans, la besace Abaco de Balibulle, avec l'anse chaîne, m'avait aussi tapé dans l'oeil.
Alors, le python ?
11:45 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : mode, spartoo, abaco, pieces, jamily python taupe | del.icio.us | Facebook