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jeudi, 19 novembre 2009

L'autre jeu du masculin/féminin

Julien Doré 1.jpg
Julien Doré, j'ai adoré.

Je pensais pas que ça m'arriverait un jour.

Julien Doré 2.jpg

Parce que Julien Doré, ouais, bon. Trop Nouvelle Star, sûrement. Je suis une fille pleine de préjugés.

david-bowie.jpg
Moi, ma came, dans le genre curieusement accoutré et maquillé comme une bagnole volée, ce serait plutôt Bowie et ça date pas d'aujourd'hui. Au début des 70's, j'avais encore un âge à un seul chiffre (!!!) quand je suis tombée sur lui et je crois bien ne m'en être jamais remise. Enfin, tombée sur lui... A la télé. Et d'ailleurs comment ai-je bien pu voir Bowie à la télé au début des 70's ? Alors qu'il y avait si peu de chaînes, et peut-être même encore en noir et blanc, et d'ailleurs, pas tout le temps, parce que les autonomistes bretons faisaient sauter les relais et qu'ensuite ça durait des mois avant qu'on la récupère, la télé, pour que de toutes façons tout re-pète éventuellement peu après...

Bref.

Je ne m'en suis pas remise.

david_bowie.jpg
(Faut pas croire, en version mal rasé avec la mèche rebelle-rebelle, ça pouvait très bien le faire aussi).
Julien Doré 3.jpg

Et donc, trente et quelques années après, j'ai adoré Julien Doré, disais-je. Dans ELLE cette semaine. Faut déjà être sacrément... couillu pour aller ainsi s'afficher pareillement attifé. Et sacrément barré.

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