Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 20 janvier 2008

Je voulais juste une veste noire

Je suis partie avec une unique idée en tête. Des soldes à Paris j'allais ramener une veste noire. Genre smocking, à porter un peu rock, par exemple avec les manches retroussées.

Une belle veste, de marque, bien coupée. Quelle marque ? Domino penchait pour Agnès b. Marie Sue a pensé Vanessa Bruno. Chez cette dernière, merci Marie, il y avait bien la veste que je voulais. A moins 30 seulement. J'ai donc attendu jeudi et ma virée haussmanienne avec les moins 15 % supplémentaires aux porteuses de cartes, dans l'espoir de me l'approprier. J'ai même pris le temps d'attendre 20 minutes pour obtenir le passeport printanier, n'ayant jusqu'ici que le passeport du concurrent galérien, sans même savoir s'il y aurait ce que je cherchais.

d17651ead57febaf5581a0ca8e595ac0.jpgArrivée au stand de Vanessa, pas une veste. J'ai pivoté et avisé, en face, celui de Marc Jacobs. Elle était là, ma veste. Pas toute comme j'aurais imaginé, avec son col en vinyle et sa seule ceinture pour fermeture.  Mais parfaite quand même. Parfaite dans ses finitions. Doublure rayée bleu pour le corps, rayée blanche pour les manches, liseré rouge.

015049a514d615b5ebe2f4e058cdb233.jpg

Parfaite avec ma blouse Marant de BérAngère.

234f0f9c48ab6ca4fd2dbfe2f3190b1d.jpg

Si parfaite que j'ai même eu envie de l'associer avec mon t-shirt Blondie du même Marc Jacobs, sans la ceinture éventuellement, vu que j'ai rétréci ledit t-shirt dans la largeur.

5f6d68e99ee9f7f68226ae9b1b2141b6.jpg

Parfaite question prix. Une "affaire de Printemps". Une veste de l'hiver 2006/2007, qui affichait au départ 425 €. Toutes déductions faites, y compris les 15 %, le dernier prix est apparu : 61,20 €. D'ores et déjà, je n'avais pas perdu ma journée.

samedi, 19 janvier 2008

En vrac

Question shopping, au départ, mon séjour parisien menaçait de ressembler à ça :

9970245223747c928a802ff0f6444107.jpg

Le premier jour, même pas une boutique.

Le second, une heure à errer au Bon Marché, juste avant la fermeture, avec, pfffff, comme l'envie de rien. Trop déjà vu, trop j'ai déjà le même (c'était parfois vrai, comme les frusques Essentiel d'il y a deux ans croisées sur un portant), pas assez soldé, trop ceci, pas assez cela.

Le troisième, un petit achat pour la route. Je n'allais finalement pas faillir à la tradition.

Et le quatrième, le grand lâchage boulevard Haussmann. Qui ressemble pour le moment à ceci :

3fa178b66d088f3a57c40fd5f001bedf.jpg

C'est à dire, à rien.

Je fais le tri, je ne déroge pas au ELLE vintage, et on en recause.

samedi, 12 janvier 2008

Plus improbables que l'improbable clutch

bb377fea852ac18f460c23955a961d6c.jpg

Dans Libé, le vendredi, il y a la rubrique Tentations. Je ne manque jamais d'y jeter un oeil plus ou moins distrait. Mais hier, j'ai lu avec une attention soutenue le papier sur la pochette. Sûrement parce qu'il était illustré d'une photo de Paul, la pochette telle qu'interprétée par Jérôme Dreyfuss. Et lie de vin, la pochette. Pile la couleur de mon Robert, la couleur que l'on nous promet so hype dans les semaines à venir.

Et là, j'ai appris que la pochette, ça se dit clutch. chez les fashion people. J'avoue que je l'ignorais. J'ai même pas honte. Pour moi, de toutes façons, la pochette, c'est improbable. Sous le bras c'est impensable. Si j'en avais une, ce serait donc au mieux pour la poser, l'oublier, la passer d'une main à l'autre d'un air emprunté, au pire pour ne pas m'en servir du tout... no way.

La pochette, pour moi, c'est aussi improbable que le terme clutch, tout de même peu glamour. Aussi improbable, tiens, que mes souliers improbables en ce moment même chez Violette exposés. Je n'en ai pas honte non plus. Je suis une shoes-addict et je le revendique. A ce niveau, je crois bien que c'est de la performance artistique.

mercredi, 09 janvier 2008

Une Eurodifferie en passant

En ce jour de lancement de soldes, je pense à toutes ces belles frusques Rützou dont les étiquettes dégringolent. Je l'avais déjà dit ici, j'aime cette marque danoise, à un point tel que ça frise la monomanie. Jusquà cet été, j'avais mon fournisseur, à un jet de pierre de ma ville que j'aime pas. Mais cette saison, le fournisseur a lui-même changé... de fournisseur.

4b2d10df7d082d0dd4daf667c8777c6c.jpg

Je n'ai donc pas acquis de nouvelle pièce de ma marque fétiche cet hiver. Je fais par conséquent avec les "anciennes", que j'aime toujours autant. Dont cette veste de velours de soie, de l'hiver 2006/2007, et cette blouse de soie brochée et brodée, de l'hiver 2005/2006.

c0b872709d0335f82a7ede6c2e4f61b7.jpg

Histoire d'avoir l'air de moderniser un peu l'attelage, j'ai copié sur Minisushi et dès que j'ai pu, j'ai shoppé une Eurodifferie comportant une touche de gris. Je ne suis pas sûre que Domino valide mon choix, étant encore moins sûre de l'aspect éthiquement correct de la chose.

a50ba4947497829795af37e24d1986f0.jpg

Quoiqu'il en soit, il me semble que l'ensemble est assez réussi.

Tout ça ne me dit pas où je vais pouvoir me trouver de nouvelles pièces Rützou soldées. Pour ce que j'en sais, à Paris, la marque bénéficie d'un corner des plus limités au Labo des Créateurs des Galeries Haussmann.